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| Sujet: Jung Ye Jin ~Waiting Ven 13 Jan - 18:05 | |
| | Nom - Jung Prénom - Ye Jin Sexe - Féminin Age - 21 ans Nationalité - Coréenne Année - 4ème année Tour - Hwajae Avatar - Jang Hae Byeol
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caractère ; « L’habille ne fait pas le moine. » Des lèvres quelques rougies par un rouge à lèvre coûteux, de grands cils rendant le regard plus qu’attirant, des coups de crayons autour des yeux, des cheveux parfaitement bichonnés, une peau aussi douce que la rosée du matin, des talons aiguilles, une robe quelque peu somptueuse, la coréenne était fin prête à sortir. Après avoir passé une heure dans la salle de bain, à se doucher, à mettre plusieurs crèmes sur son visage, à se maquiller, après une heure à trouver un vêtement convenable, tendance, l’heure était arrivée pour arborer ses nouveaux vêtements. Du petit nœud dans les cheveux, aux chaussures, la jeune femme est toujours soigneusement à la mode, ne ratant pas une seule occasion pour renouveler sa garde-robe. Elle a tout, voir trop & malheureusement au bout de deux mois à peine, elle doit jeter une grande majorité de ses vêtements, de ses chaussures, de ses bijoux. Son armoire est chaque jour prête à exploser. L’habille fait, selon elle, toute la vie d’un être.
« Quand on a tout on en demande toujours plus. » Née dans une famille aisée, Ye Jin a toujours eu une cuillère en or dans sa bouche. Elle ne connait pas ce que le mot « en manque » veut dire. Dépensière jusqu’à la moelle, elle n’hésite pas une seule seconde à étaler sa fortune. Elle n’a aucune once de modestie en elle, mais cela lui importe peu. Elle a de l’argent, donc autant en profiter. Elle ne voit aucune raison qui l’empêcherait de la sorte. Les pauvres profitent de leurs pauvretés & les riches profitent de leurs richesses, avant que celles-ci ne s’épuisent. Elle est née sous une bonne étoile, ce n’est pas de sa faute, c’est la vie qui a voulu de ça pour elle & cela ne lui déplaît guère. Tant qu’elle a, elle en demande.
« Toi je t’aime, toi non. » La jeune femme a un avis très fixé sur la vie, sur ‘autrui’. Quand elle n’aime pas quelque chose, elle n’aimera pas jusqu’à la fin de sa vie, tout comme quand elle n’aime pas une personne, elle le lui fera comprendre. Soit elle aime une personne soit pas. Sa vision est très arrêtée, mais qu’importe, c’est dans son caractère & puis, au moins, elle n’est pas comme toutes ces personnes qui ne cessent de changer d’avis toutes les deux secondes. Elle a un avis fixe & cela peut plaire comme déplaire. On aura beau essayé de lui faire changer d’avis, cela ne l’atteindra pas, sauf réel cas exceptionnel.
« Dis Maman, pourquoi j’suis pas un garçon ? » La gente féminine, une réelle complication & source de problèmes. Ye Jin a toujours eu le profond désir de changer de sexe. Malgré ses allures de femmes, la jeune femme a toujours eu un énorme complexe à ce niveau. Se liant plus facilement avec le sexe opposé, la coréenne a toujours eu une préférence pour les hommes & elle les trouve quelque peu fascinant. Etant elle-même une femme, elle sait que la femme est avide de jalousie, de méchanceté & elle peut planter des coups de couteaux à tout moment. Certes, elle a une certaine fierté à être une femme, mais elle aurait largement préféré être un homme, car un homme, c’est fort & beaucoup moins compliqué qu’une femme.
« La franchise te tuera un jour. » Malgré les apparences, la coréenne n’est pas du genre à mentir, ou à être hypocrite. Elle va toujours dire ce qu’elle pense à haute voix, au risque de blesser les autres. Elle n’est pas fondamentalement méchante, mais pour elle, cela ne sert à rien de mentir, de dire à une personne qu’on l’apprécie juste parce que, alors que ce n’est absolument pas vrai. Quand elle n’aime pas quelque chose elle le dit, quand elle trouve qu’une personne ne sait pas s’habiller, elle le dit. Elle n’en a que faire des représailles. Il est préférable de blesser, tout en disant la vérité. Elle est juste honnête avec elle-même & les autres, point final.
« La violence ne résout pas tout, enfin, tout dépend. » La violence, le coup de l’adrénaline. C’est exactement ce que la jeune femme aime. Bagarreuse dans l’âme, dès qu’elle a la possibilité de se battre avec quelqu’un, elle n’hésite pas. Dans ce genre de contexte, elle devient totalement incontrôlable & rapidement avide de bousculades. Se battre ait un moyen pour elle de se défouler, de faire passer toutes ses émotions ou autres. Violente, elle l’est & elle n’a aucune honte à le dire. C’est dans ce genre de situation, que l’on constate qu’elle peut être vachement « garçon manqué ». Une femme qui se bat, ce n’est pas bien vu, mais quelque part, elle s’en fout, elle aime ça & puis, les hommes aiment la voir se battre, donc au final elle se laisse aller à la tentation.
« Mlle Jung, cessez donc vos propos ! » Une fois, deux fois, trois fois. . . Combien de fois la jeune femme s’est faite jetée de la classe, pour insolence vis-à-vis d’un adulte ? Cela ne se compte même plus sur deux mains. Ye Jin est une femme particulièrement vulgaire, dans son vocabulaire. Pourtant, issue d’un milieu aisé, elle emploie plus des termes familiers que soutenus. Grossière la plupart du temps, tout son charme disparait quand elle commence à employer des mots peu plaisants venant d’une femme. Ye Jin a reçu une éducation tellement stricte, qu’au final, en quittant son cocon familial, sa petite vie de fille bien élevée, elle est devenue très vulgaire, elle a commencé à prendre goût aux mots qu’elle n’avait pas le droit de prononcer auparavant. Au final, elle se délivre enfin, elle peut enfin parler vulgairement après des années à parler de manière courtoise.
histoire avant d'entrer à astahi ; « Née dans une cuillère en or dans la bouche. » Ye Jin est une fille née dans une famille particulièrement aisée, voir, ne manquant de rien. Elle est née dans le meilleur hôpital, avec le meilleur personnel du service, pour qu’ainsi, elle puisse naître sans trop de complications, car sa venue était prévue avec certaines circonstances quelque peu rudes lors de l’accouchement. Mais au final, accompagnée de toutes ces personnes, la jeune fille put naître sans aucuns problèmes. Très vite, Ye Jin a pu découvrir le monde au sein de sa main, entourée de jardiniers, de cuisiniers, de femmes de ménages & de nounous, la chouchoutant comme une petite princesse. Depuis sa date de naissance, elle ne sait pas ce que c’est que le « manque ». Dès qu’elle pleurait, elle avait de suite quelqu’un à ses côtés, dès qu’elle réclamait de l’affection, elle en avait. Elle est le stéréotype même de la fille particulièrement riche, née de suite avec une cuillère en or. Certes ses parents n’étaient pas en permanence dans la maison, à cause de leurs travails respectifs, mais ils étaient tout de même là quand elle en avait besoin, quand elle avait besoin de ses parents. Beaucoup clament que l’argent ne fait pas le bonheur, mais il faut tout de même être lucide & bien comprendre, qu’il y contribue, car sans argent, peut-être que la coréenne n’aurait pas pu autant s’épanouir, autant réussir dans la vie. Elle a toujours eu les derniers vêtements de toutes les marques les plus luxueuses, elle a toujours eu des téléphones avec une technologie surdéveloppée, elle a toujours eu tout & en ayant « tout », elle demandait à chaque fois plus, comme si elle n’était pas rassasiée de ce qu’elle avait. Elle n’a finalement, jamais connu la pauvreté, elle ne sait pas ce qu’est le mot « rien ». Toutefois, malgré cette épopée de billets, de pièces, de monnaies, l’enfant qu’elle était n’a jamais eu une totale liberté dans ses faits & gestes. Forcément, fille unique, ses parents étaient toujours derrière elle, toujours à lui dicter ce qu’il fallait faire ou non, elle était gâtée, mais à force de l’être, elle s’est peu à peu renfermée dans ce monde de riche. Elle avait une éducation très stricte. Elle n’avait pas le droit de regarder n’importe quelle chaîne à la télévision, elle devait regarder des documentaires très cadrés, les dessins animés, ce n’était que le dimanche matin, pas plus, pas moins. Ses jouets étaient constitués de dinette, de piano, de livre, elle n’a jamais eu une seule poupée, parce que ses parents pensaient que ce n’était pas assez constructif pour leur enfant & ils avaient le désir qu’elle devienne une femme très intelligente. Dès qu’elle rentrait des cours, elle devait de suite se rendre dans une salle où se trouvait son professeur particulier. Dès 6ans elle a commencé à apprendre l’anglais & le français. Mais étant habituée à ce genre de situation, elle n’avait pas conscience qu’elle perdait entièrement son innocence & son enfance. Trop jeune pour comprendre, elle ne comprenait pas que sa liberté était prise par tout ce que ses parents exigeaient d’elle.
« Mon ami imaginaire, c’est un dragon ». Souvent, pour fuir de sa maison, pour essayer de s’amuser, elle s’en allait vers des endroits où personne ne pouvait la trouver. Elle était une reine des cachettes. A chaque fois, elle se rendait dans un lieu historique, avec de vieilles bâtisses & elle s’amusait toute seule, s’inventant un monde magique, rempli de dragons de tout genre. Pendant 4ans, elle ne cessait de répéter que les dragons existaient, qu’elle n’inventait pas & que c’était ses seuls amis & que, dans quelques années, son dragon à elle allait venir la chercher & elle allait voler pendant des jours & des jours dans ce ciel nuageux, parcourant chaque contrés. Elle sentait en elle un appel & chaque fois, elle faisait un pas de plus vers l’endroit où elle allait jouer, désireuse de franchir la barrière entre le réel & le monde magique, comme si chaque pas allait l’amener vers ce lieu mythique. Elle y croyait tellement & ce, pendant des années, que ses parents commencèrent sérieusement à avoir peur. Ils ne savaient pas tout comment elle avait pu entendre des histoires sur les dragons, ne lui racontant jamais de contes merveilleux. A force d’entendre leur fille dire cela, ils ont commencé à prendre un psychologue pour elle & à la faire suivre. Pendant quelques mois, la jeune femme était quelque peu réticente devant cette étrangère qui ne pouvait pas comprendre l’appel qu’elle entendait au fond d’elle & elle répétait sans cesse, qu’un jour ils allaient voir, son dragon allait venir. Mais à force d’aller aux séances, la jeune femme fut rapidement bercée par les paroles mielleuses de sa psychologue & pendant deux ans, elle oublia peu à peu ses histoires de dragons, réalisant qu’à cette époque, elle n’avait été qu’un enfant, qui désirait croire en un monde magique. Dans l’année de ses 11ans, elle arrêta tout suivi, comprenant enfin que ce n’était que dans sa tête.
« Je vous l’avais dit qu’un jour, mon dragon allait venir ». Étant plutôt douée, avec ses nombreux professeurs particuliers, à 17ans, la jeune femme fut lancée dans la terrible jungle du monde d’adulte. Personnellement, elle n’avait aucune aspiration à un quelconque domaine, elle cherchait une école, pour en chercher une. Un beau jour, un Homme étrange est venu frapper à sa porte, lui remettant une lettre des plus curieuses. Dans cette lettre, il y avait une proposition pour intégrer une école, aux apparences « normales ». Au début, ses parents n’étaient pas très heureux à l’idée qu’elle y aille, ne connaissant pas une telle école, n’étant pas assez renommée, mais bien trop intriguée par l’atmosphère de cette lettre, au bout de quelques jours, sans demander l’accord de ses parents, elle partit en direction de cette fameuse école. C’est là qu’elle a réalisé que ce n’était pas très loin de l’endroit où elle jouait dans son enfance. Sur le coup, elle a eu quelques craintes, mais au final, après plusieurs réflexions, elle finit par ouvrir la porte de l’établissement & c’est là qu’elle comprit, de suite, qu’elle y était, enfin, dans ce monde magique, qu’elle avait tant rêvé pendant des années. Dès qu’on lui remit un œuf dans ses bras, elle sentit un cœur y palpitait & elle comprit, que c’était son dragon.
votre scolarité à astahi ; Scolairement, la jeune femme a toujours été quelque peu douée dans toutes les matières, ayant des professeurs particuliers. Elle a même monté une classe, plus jeune. Mais cette époque est révolue, car c’était quand elle était encore dans le monde « normal ». On la forçait à travailler, à dépasser ses limites & à présent, vu qu’elle n’a plus personne qui est derrière elle, elle se laisse aller, elle se repose enfin, après toutes ces années à travailler comme une forcenée. Elle s’immisce peu à peu dans la paresse. Elle a du mal à reprendre le rythme qu’elle avait avant. Généralement, étant grossière, les professeurs l’apprécient peu & quand une personne ne l’aime pas, elle ne l’aime pas & du coup, elle a du mal à travailler. De plus elle a la sale manie de rater les cours pour profiter de son dragon. Elle a été de nombreuses fois sermonnée & malgré les apparences, même si elle continue à ne pas travailler, elle parvient tout de même à maintenir la moyenne. Au final, elle est très intelligente, mais elle ne fait aucun effort & puis étant habituée à être toujours la meilleure, elle veut découvrir une autre facette, elle ne veut plus être gênée par les études, elle veut vivre sa vie auprès de son dragon. Les études, ce n’est que facultatif à ses yeux.
autres ; "Autre" n'est pas un terme que la jeune femme connait. Mais en dehors de son histoire, de son caractère, de son dragon & de sa vie en tant qu'étudiante, la jeune femme a un tatouage en forme d'étoile, que l'on peut constater sur son poignet gauche. Elle s'est fait ce tatouage lors de ses 17ans, comme le symbole de sa liberté. Certes, elle aurait pu tatouer une colombe, mais les étoiles sont assez représentatives de sa personnalité. La journée, les étoiles ne sont pas visibles, en tout cas pas aussi facilement que le soir. Au final,la jeune femme est comme les étoiles, parcourant les contrés, se montrant parfois & se cachant d'autres fois. Sinon, en dehors de cet aspect, il n'y a rien, ou en tout cas, pas quelque chose qui puisse être révélé aux yeux de tous.
| Race - Airain Stade - II Nom - Mushu ♥ Sexe - M Caractère - bavard : obéissant ; gentil
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| votre dragon et vous ; Un dragon & un maître, unis par les liens sacrés de l’adoption. Pour maintes personnes, un dragon n’est qu’un ustensile de plus pour apprendre le monde magique, pour parfaire son apprentissage au sein de ce monde hors du commun. Pour d’autres, c’est juste un instrument de distraction, de combat. Mais pour Ye Jin, c’est bien plus qu’un dragon. Dès le moment où elle a tenu l’œuf dans ses bras, elle l’a de suite considéré comme un bébé, qu’elle allait devoir choyer & protéger. Est née entre son dragon & elle, une véritable complicité. Même s’il est devenu un peu trop encombrant, dès qu’elle en a la possibilité, elle le miniaturise pour pouvoir l’avoir constamment à ses côtés. Elle ne combat pratiquement, voir jamais, avec lui, de peur de blesser son « bébé ». Une personne ose toucher à son dragon & elle est certaine de se retrouver la tête sous la terre.
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Dernière édition par Jung Ye Jin le Dim 15 Jan - 13:47, édité 3 fois |
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