Invité
 | | Sujet: Joo Sun Ah ♦ terminée. Ven 13 Jan - 17:27 | |
|
 |
Nom - Joo
Prénom - Sun Ah
Sexe - Féminin
Age - 18ans.
Nationalité - Coréenne
Année - 1ère année
Avatar - Kim JiSook [Rainbow]
Tour - 공기 gong-gi
|
caractère ;
Une boule de nerf. Une pile électrique. Appelez cela comme vous le voulez mais Sun Ah est dès plus extravertie et elle ne se fait pas prier pour s’extérioriser. Certains la trouvent insupportable, d’autre diront adorable. Qu’importe les remarques à son sujet, dans tous les cas, elle n’en fait qu’à sa tête. Esprit de contradiction, esprit grand ouvert, elle est curieuse par nature et instaurer des limiter ne sert à pas grand-chose avec elle. Câline, douce mais par moment trop bruyante, ajoutez à tous ceci sa maladresse et il suffit de s’installer sur une chaise bien confortable pour rire toute la journée en la voyant simplement agir. Pour ne rien arranger, elle est assez folle. Kamikaze, souvent courageuse et téméraire pour les choses les plus dangereuses, elle en oublie par moment les risques. Inconsciente ? Oui, c’est ça. Pour elle, la vie est un jeu dont il faut profiter au maximum. Broyer du noir, non merci. Elle est souriante et il est rare de la voir triste. Si ça venait à arriver, c’est qu’il y a eu vraiment quelque chose de grave. Avec ce sourire au bord des lèvres, on pourrait la penser naïve. Bah détrompez-vous. Le premier qui la sous-estime, ne le fera qu’une seule fois. Notre jeune demoiselle aux airs sans défenses est dès plus vicieuse et intraitable ; on ne se moque pas d’elle indéfiniment ! Alors leurrez vous en voyant ce sourire et ses airs enfantins pour vous jouer d’elle, mais surveillez vos arrières ; c’est pire qu’un boomerang, avec les intérêts.. bien sure. Elle est aussi sans-gêne. D’une franchise déroutante, elle a du mal avec le maniement du tact.. L’hypocrisie, elle n’en ai pas adepte. Elle n’aime pas quelqu’un, elle ne s’amusera pas à dire le contraire. Elle ne sait pas mentir en plus et elle a du mal à le cacher quand un truc ne plait pas ; tous ceci se voient à sa tête, étant dès plus expressive. Elle est persévérante dans son travail mais, elle apprécie davantage se la couler douce sur un canapé ou au soleil. Malheureusement pour vous, elle aime trop dormir. Le pire, c’est qu’elle a le sommeil lourd et est somnambule.. Elle n’a jamais vraiment connu l’amour. Elle est dès plus fidèle en amitié et ne manque pas d’être à l’écoute, si il le faut. En plus de cela, elle ne se gênera pour frapper celui ou celle qui fait souffrir un de ses proches. Certes, elle en a pas la carrure, mais elle peut se montrer violente.. Quand elle veut. Gourmande, très sportif, elle sait comment éliminer tous ce qu’elle ingurgite. Elle aime être coquette et se sentir belle. N'y voyez aucunes formes d'égocentrisme, elle a juste pris goût aux robes, talons et maquillage qu'elle avait longtemps mis de coté étant plus jeune. Cependant, quand elle veut être à l'aise, elle sait aussi bien adopter le jogging ou les tenues tue-l-amour dans les dortoirs. Vous savez ces tenues qu'on se cache bien d'exposer à tout le monde... Elle n'a aucune réelle fierté, on l'accepte ou on la refuse. Car, selon elle, dans la plupart des cas, cela lui fera ni chaud, ni froid. En gros, c’est une jeune femme qui souhaite simplement croquer la vie à pleine dent. D’accord, elle ne fait pas dans la demi mesure et elle a tendance à être très impatiente. Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? On ne peut pas plaire à tout le monde. Et cela, elle l’a bien compris.
histoire avant d'entrer à astahi ;
❝ Je ne sais pas, si j’étais tous simple un enfant non-désiré ou parce que j’étais une fille… Ma mère me donna la vie et déserta aussitôt la maison. Je n’ai jamais vraiment su. J’étais trop petite. Mon père s’occupait de moi tant bien que mal. Lui, le roi aux deux mains gauches, avoir un bébé sur les bras, mais où allons-nous ? Cependant, ce fut à cet instant qu’il m’a aimé pour la toutes première fois. Ces yeux de bambins émerveillés à la moindre petites choses, ce gosses qui riait à ses cris de désespoirs et pleurait pour un caprice. Je ne connaissais rien. Je découvrais. Maman revenait après deux ans de silence radio, de temps en temps quand, l’argent lui manquait et aussi d‘attentions... Mon père n’est pas de ceux qu’on appellerait des Lumières. Un peu trop naïf, il pensait faire le reste de sa vie avec elle et disait amen à tous ces désirs. Puis, trois mois plus tard, elle n’était plus là. Les économies en poches, elle était partie se la couler douce. Dans la panade, mon père faisait en sorte de gérer son rôle d’homme de la maison. Je n’avais que six ans, j’étais gardée par ces amis dans un vulgaire garage, qui nous servait de foyer. Alors qu’on croulait sous les dettes, on était tout de même heureux. C’est dans cet endroit que je découvris ma passion pour la musique. Il jouait avec son groupe. Un groupe qu’il avait formé depuis l’adolescence, d’après lui, je fus mes premiers en dansant sur une de leurs musiques des Beatles.
L’argent avait du mal à rentrer mais, on faisait avec. Pauvre, mais heureux. Ayant grandi ainsi, je ne me posai pas de questions sur notre état financier. Seules les remarques de mes petits camarades me firent douter. A cette époque, je ressemblais plus à mec qu’à une jolie fille. Je me servais des habits de mon père et j’avais pris certaines de ces manières. Oui, j’étais loin d’être une mignonne fillette. A cause des ces moqueries, je me fis rapidement remarquer par le corps institutionnel. Renvoyée trois fois, la première pour avoir cassé le poignet d’un garçon, la deuxième pour avoir saccagé une salle de classe et la dernière, pour mon nombre incalculable d’absences… Eh oui, je n’étais pas une élève disciplinée. Je savais mes leçons, je connaissais tous. Mais l’environnement, l’ambiance me rendait folle. La réaction de mon père ? Il en rigolait. Oui, les responsabilités parentales, il ne connaissait pas. J’ai grandi en apprenant par moi-même. Les différentes copines qu’il ramenait à la maison, devenaient des mère d’une semaine, voir trois jours. J’étais une petite fille, qui grandissait dans un contexte purement masculin alors, il fallait bien que je m’informe dès qu’on m’en donnait l’occasion. A coté de l’école, je pris un petit bouleau où je distribuais des publicités pour pouvoir me payer des vêtements. Je voulais être une fille, une femme à ses yeux. C’est fou comme, les amourettes peuvent nous faire basculer. J’étais amoureuse d’un garçon, qui ne voyait en moi la bonne copine. Ou plutôt, le bon copain. Une jolie robe rouge carmin, des escarpins noirs, maquillée, les cheveux bouclés, je m’avançais vers lui. J’attendais tous de ce moment et au final, rien. Je me pris un bide monumentale face à mon premier amour. Je l’ai vite détesté. Pour son sourire en coin, son silence, ses regards à droites et à gauches, je lui ai mis une claque. C’est excessive, je sais. Bon Dieu, un compliment ça n’a jamais tué personne ! Si il savait tous ce que j’avais fait… Les matins où je bossais sous la pluie, je le détestai parce qu’il ne m’aimait pas. J’étais stupide. Tellement que je pris rapidement mes jambes à mon cou.
Ce fut la première et dernière fois que je fis un tel effort pour un mec. Enfin, je suis restée très féminine mais pour mon plaisir, en aucuns cas pour ceux des autres ! En larmes chez moi, je fis rapidement réconfortée par les âneries de mon père. À seize ans à peine, il m’offrit un verre de saké pour me remettre les idées en place. Quand je vous dis, qu’il est… Cool. Je passais mes nerfs avec les différents sports. Puis, la reine mère refit son come back. Malheureusement pour elle, j’étais au courant et plus aussi innocente, qu’il y a dix ans… Prétextant qu’elle ne supportait plus être la fée d’un logis aussi médiocre, élément qui ne lui donna aucune excuses pour s’être tirée avec l’argent, elle voulait rattraper le temps perdu avec moi. J’y ai pensé à la seconde chance. Mais non. Violente dispute. Une entrée de mon père sur le champ de bataille. Une intervention de trop qui me fit apprendre la réalité sur ma naissance. Mon père n’était pas le mien. Elle avait eu un amant… Cet amant était mon père. On va dire que j’ai réagis comme à chaque événements traumatisants pour moi et ses mots blessaient en plus mon père alors, j’ai frappé. La voir disparaître était ma seule préoccupation. Elle me faisait horreur. Mon père m’arrêta. J’aurai pu continuer encore longtemps, encore et encore. Je me débattais. Des cris, des larmes, tous les noms désagréables à son encontre, je la haïssais pour nous avoir pourri la vie, pour avoir fait souffrir MON père. Il était, est et resta ainsi. Je ne voulais plus l’entendre.
Suite à cela, nous eûmes plus aucunes nouvelles d’elle. J’évitais le sujet sur mon vrai père. Le grand gamin qui me servait de père, se montrait peu à peu adulte depuis cette nouvelle. Mais je voulais reprendre ma vie telle quelle. Oublier. Faire comme si rien ne s’était passé. J’ai qu’un père. Incapable de m’arracher un mot, il redevint rapidement lui-même allant jusqu'à me proposer un joins ; ça détend, disait-il. Totalement lui-même. Monsieur peace and love réussit à ouvrir son propre garage. Au final, nous avions un garage où nous vivions et un autre où il travaillait. Amusant ? Enfin tant qu’il ne ramenait pas son boulot à la maison… J’ai rapidement fini le lycée. J’étais précoce pour mon âge selon mes professeurs, même si dès plus indisciplinée. Incapable de savoir où était ma place dans cette société, j’étais prête à collectionner les petits boulots pour aider mon père. Seulement voilà, il y a eu cette lettre d’admission. Cette école dont j’avais toujours entendu un peu partout. C’était l’école en vogue. Et, j’étais choisie. Je dois dire, c’était le moment de ma vie où je me sentis le plus désirer… C’était surement cela, ma voie alors, je n’ai pas réfléchi et j’ai foncé. Mon père se montra fière de moi, mais au fond, j’avais peur de le laisser seul.. Mais pousser davantage par ce dernier, je ne pus refuser. ❞
votre scolarité à astahi ;
Une âme vagabonde. Comme à chaque nouvel endroit où elle atterrissait. Elle aira sans crainte pour découvrir les moindres recoins. Cet endroit la fascina, elle se demandait par moment si il y avait des cachettes secrète comme dans tous les grands châteaux. Alors, il n’était pas rare de la voir taponner les murs à la recherche de passages.. Bon, elle s’est perdue de nombreuses fois, tellement habituée à son petit garage comme habitat alors, lâcher dans une tel endroit ; c’est un coup à la perdre pour de bon. Cet environnement changeait vraiment de son petit cocon. La déco lui plut tout de même. Les profs semblent sympathiques, enfin c’est seulement parce qu’elle reste disciplinée (pour le moment) et.. Avec les autres élèves, ça ne change pas. Il y a des personnes sympathiques et des personnes antipathiques comme dans l’autre monde. Elle n’est là que depuis quelques semaines, il lui faut encore un peu de temps pour se faire une idée sur tous ; comme le choix de cette maison et surtout, cette histoire de dragon. Elle se rappelait vaguement des comtes que son père pouvait lui raconter pour l’endormir. La plus part du temps, il les inventait à sa guise alors.. Dans tous les cas, ces histoires étaient complètement irrationnelles. Mais étant assez enfantine et l'esprit assez ouvert pour cela, il ne lui fallut pas longtemps pour avaler la pilule. Certes, elle a quand même hurlé au premier lézard volant rencontré mais, elle a fini par s’habituer à la longue. Après une semaine, elle a pris ses aises et elle s’est déjà faite remarquer. Quoi ? Vous ne savez pas ; chasser le naturel, il revient au galop. Elle n’est pas assez réservée pour longer les murs -enfin, uniquement pour les passages secrets qu’elle cherche encore- alors, si on ne la remarque pas… c’est qu’il faut vraiment être aveugle…
autres ;
• Elle s'y connait très bien en mécanique.
• Elle est allergique aux cerises, aux mangues et aux chevaux.
• Elle pratique énormément de sport ; comme le basket, le volley, la gym, le baseball ou encore, la natation.
• Néanmoins, elle a gros point faible. Une fois toute cette énergie dépensée, il peut lui arriver d'avoir des crises atoniques ; où elle ne peut plus tenir debout et sentir ses membres pendant un laps de temps. Dans ces cas-là, le plus régulièrement, elle perd complétement connaissance et retrouve l'usage de ses bras et ses jambes à son réveil. Cela n'arrive que lorsque l’exercice physique a été dès plus intense.
 |
Race - Inconnue
Stade - I
Nom -
Sexe - Inconnu
Caractère - Inconnue
|
|
votre oeuf et vous ;
Bah qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? C’est cool un gros kinder surprise ! En espérant que la surprise à l’intérieur ne soit pas trop casse-tête… Parce que, quand je vois certains batailler pour avoir le monopôle de la situation avec leurs dragons, je me dis ; je suis pépère, moi, pendant ce temps-là. J’ai l’impression de retrouver ces cours où l’on vous file un bébé un plastique.. Seulement là, il y a quelque chose de vivant à l’intérieur.. Un mystère que je choie telle une maman poule. Oui, je le traite comme mon bébé. Je l’emmène par tout avec moi, je lui raconte tous pleins d’histoires et même, je lui confis mes problèmes. C’est super, il n’est pas contrariant et je suis incapable de savoir, si je l’agace dans sa coquille. Au fond, j’espère qu’il ne me fera pas regretter de ne pas l’avoir fait en omelette…
|
Dernière édition par Joo Sun Ah le Ven 13 Jan - 23:20, édité 11 fois |
|
The Director
DOUBLE COMPTE : Non
SITUATION : Célibataire
| | Sujet: Re: Joo Sun Ah ♦ terminée. Ven 13 Jan - 21:54 | |
| Tu peux procéder à la suite =3  | " Libre comme l'air "
Bienvenue dans la quatrième et dernière tour, les êtres d'air. 공기 gong-gi.
La tour de Gong-gi regroupent un joli lot d'élèves raffinés, doux et d'une légère élégance à l'image d'une brise. Discrets, ils sont connus comme pacifistes et patients, artistes dans l'âme. Cependant il arrive que ceux-ci se révèlent rêveurs, la tête dans les nuages, un brin distraits. Leur délicatesse et leur charme pourront les rendre hautains, fiers et peu abordables mais dans l'ensemble ils restent des élèves agréables, jamais blessants car respectueux. Peu causants avec les autres, ils ont cette tendance très secrète, violer leur intimité n'est pas à faire tout comme le fait de se montrer déplacé à leur égard car leur patience même d'ange, reste limitée ...
emblème : le dragon fée
dragon : fée - argent - nuage |
|
Race - Inconnue
Stade - I
Sexe - Inconnu
Caractère - Inconnu
|
Il va falloir attendre envie de savoir duquel des trois dragons de Gong-gi tu as hérité |
|
